Le voyage d’études comme dispositif pédagogique, l’étranger comme outil de décentration.
La licence professionnelle est constituée d’un voyage d’études, dispositif pédagogique qui s’appuie sur la comparaison internationale pour mieux comprendre la situation étrangère, mais également la situation française ou plus locale par une décentration opérée lors de l’exercice.
Selon nous, c’est un moyen efficace de compréhension des contextes et des dynamiques sociales qui contextualisent les publics, les populations, les pratiques, les professions, les politiques d’intervention sociales et humanitaires. Grâce à des rencontres avec des professionnels, un nouveau territoire et à des visites de structures sociales et humanitaires dans un contexte singulier, les apprenti.e.s coordinateurs/trices de projet pour les territoires vont pouvoir développer des compétences novatrices, renforcer leur capacité d’analyse et de contextualisation afin d’enrichir l’éventail de leurs pratiques professionnelles.
Puissant outil de compréhension, la comparaison internationale demande une méthode précise pour éviter les biais et les travers d’une analyse qui resterait superficielle. Ainsi, le voyage d’étude est appuyé par des enseignements avant et après celui-ci pour appuyer les réflexions et les connaissances mises au jour.
L’étranger comme contexte d’intervention
Ce voyage d’étude s’inscrit également dans un contexte de mondialisation qui pousse les professionnels de tous les secteurs à s’ouvrir aux pratiques professionnelles d’autres pays. Grâce à des rencontres avec des professionnels, un nouveau territoire et à des visites de structures sociales et humanitaires dans un contexte singulier, les apprentis coordinateurs de projet pour les territoires vont pouvoir développer des compétences novatrices, renforcer leur capacité d’analyse et de contextualisation afin d’enrichir l’éventail de leurs pratiques professionnelles.
Les précédents voyages d’études :
2019 : le champ de l’intervention sociale dans un pays encore marqué par les traces d’une dictature à Santiago, au Chili
2018 : la transformation sociale en favela à Rio de Janeiro, au Brésil
2017 : les structures associatives à Tanger, au Maroc